On trouve des traces de culte dès le XIIème siècle. La chapelle Saint-Antoine-l’Ermite de grès et de silex, a été reconstruite aux XVe et XVIe siècle. La porte est surmontée d’un arc en accolade, seul élément décoratif qui se dégage d’un aspect général plutôt sobre. Son aspect austère contraste avec sa richesse intérieure.

Quatre statues du 16e siècle en pierre polychrome toisent le visiteur à son entrée dans le sanctuaire. Les vitraux, de la même époque, représentent un Christ aux Outrages et les donateurs. Trois vitraux contemporains, réalisés en 1964, par Guy de Vogüé, proposent une interprétation de la Passion du Christ.

Enfin la chapelle est entièrement décorée de boiseries, de moulures en stuc et est meublée d’un autel et d’une grille en ferronnerie du XVIIIe siècle. Elle fut desservie par les moines de l’abbaye de Fécamp jusqu’à la Révolution.